Ils ont connu les 2 clubs |
Rachid Alioui, Michel Audrain, Éric Bedouet, Fahid Ben Khalfallah, Stéphane Biakolo Awona, Antonin Bobichon, Grégory Bourillon, Lionel Cappone, Malik Couturier, Cédric Daury, Ludovic Delporte, Hamed Mobido Diallo, Djibril El Hadji Pape Diaw, Fabrice Anguilet Do Marcolino, Christian Felci, Jean-Michel Fouché, Joël Fréchet, Ludovic Gamboa, Hervé Gauthier, Jean-Pierre Gonfalone, Pascal Grosbois, Franck Haise, Jérôme Hiaumet, Djibril Konaté, Régis Laguesse, Pierre-Henry Lamy, Jean-Willy Laurendeau, Steven Le Bert, Yannick Le Saux, Jacques Lemée, Thomas Mienniel, Miguel Mussard, Mounir Obbadi, Lionel Prat, Sébastien Renouard, Jean-François Rivière, Pape Macou Sarr, Edward Richard Socrier, Bruno Steck, Éric Stéfanini, Olivier Vandevoorde, Laurent Viaud, Yoane Wissa Steven Le Bert (jeunes), Marius Courcoul (jeunes)
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Club formateur pour |
Olivier Toutoute Fauconnier, Éric Stéfanini, Grégory Bourillon, Ismaël Dramé
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Historique |
Né en 1902, le Stade lavallois a une origine laïque. Dès l’entre-deux-guerres il fait partie des bons clubs de l’Ouest. En 1964, il fait coup double en gagnant la Coupe de l’Ouest et en étant promu en championnat de France amateur. D’emblée il gagne son groupe et participe à la poule finale. Nommé entraîneur en 1968, l’instituteur Michel Le Milinaire mène le Stade en finale du championnat de France. Un an après, profitant de la réforme des championnats, le club mayennais accède à la D2 « open ». En 1976 arrive la consécration : tandis que le SCO gagne le groupe B, Laval finit deuxième du groupe A derrière Rennes et gagne le barrage : les trois clubs de l’Ouest montent ensemble en D1. Qui imagine alors que les Tangos, qui ont failli refuser le professionnalisme et la montée pour des raisons financières, s’y maintiendront le plus longtemps ? Ils y disputeront treize saisons consécutives en se classant même 5èmes en 1982 et 1983, coupe d’Europe à la clé. Le point d’orgue est bien connu : c’est l’élimination du légendaire Dynamo de Kiev. Comme à Auxerre, la formation prospère : l’équipe B monte en D3 en 1976 et se classe 3ème en 1978 et 1982 derrière Nantes B et le Red Star, et l’équipe C finit 4ème de D4 en 1980. Mais le miracle prend fin en 1989, le Stade lavallois rélégué en D2 ne parvient pas à remonter, Le Milinaire est écarté à l’automne 1992. Depuis lors, Laval reste malgré tout un pilier de la D2 hormis quelques années en National (2006-2009, 2017-2022) et la perte du statut pro une saison (2008-2009). |