| Ils ont connu les 2 clubs |
Anthony Mbu Agogo Modeste, Claude Arribas, Michel Audrain, Olivier Auriac, Floyd Ayité, Gilles Barragué, Éric Bedouet, Fahid Ben Khalfallah, Paul Bernardoni, Emmanuel Biumla, Sacha Clémence, Jean-Marie Couronne, Enzo Crivelli, Loïs Diony, Bruno Ecuele Manga, Gilles Eyquem, Joachim Fernandez, André Ferri, René Gallina, Jean-Louis Garcia, Jérôme Gnako, Jocelyn Gourvennec, André Guesdon, David Guion, Eric Guérit, Roland Lagaronne, Bernard Lambourde, Ted Mondésir Lavie Mienandy, Alphonse Le Gall, André Lukac, Carlos Madiokoka, Kévin Jacques Olimpa, Stéphane Paille, Marc Pascal, Théo Pellenard, Pierre Planus, Eric Péan, Ulrich Ramé, Hervé Rollain, Henri Saivet, Gérard Saliné, Thomas Touré, Emmanuel Patrick Vaz, Jacques Ékomié
Alexandre Baylet (jeunes), Mathias Serin (jeunes)
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| Club formateur pour |
Olivier Auriac, Floyd Ayité, Gilles Barragué, Alexandre Baylet, Gilles Eyquem, Joachim Fernandez, Jérôme Gnako, Ted Mondésir Lavie Mienandy, Roland Lagaronne, Carlos Madiokoka, Kévin Jacques Olimpa, Pierre Planus, Henri Saivet, Emmanuel Patrick Vaz, Sacha Clémence, Théo Pellenard, Loïs Diony, Emmanuel Biumla
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| Historique |
Le club des Girondins arbore la date « 1881 » mais elle est trompeuse : il ne pratique le football que depuis 1919 (hormis la saison 1910-1911). Bon club amateur girondin parmi d’autres dans les années 20 et 30, il est seulement le troisième club bordelais, après le Sporting Club de la Bastidienne et le Club deportivo español, à se lancer dans le professionnalisme, en 1937. C’est une réussite et dès lors il ne cesse plus d’être le n°1 local et en quelques années un grand club français. Souvent placé et régulièrement lauréat (six fois champion et neuf fois vice-champion de D1, quatre coupes de France et trois coupes de la Ligue, une finale de coupe d’Europe et deux demi-finales), il ne domine cependant le football français qu’au milieu des années 80. C’est bref car l’escalade budgétaire enclenchée par l’OM de Tapie (débaucheur de l’illustre Bordelais Alain Giresse !) précipite la chute des Girondins de Bez. Il en coûte aux Bordelais une relégation administrative en D2 et leur seule saison de D1 manquée depuis 1962. Rayonnant sans concurrence sur un vaste territoire, dotés d’un grand stade neuf et d’un public averti et exigeant, les Girondins paraissent indestructibles. |
