Ils ont connu les 2 clubs |
Loris Arnaud, Claude Arribas, Emmanuel Attah, Michel Audrain, Thierry Bacconnier, Alexandre Bonnot, Jean-Pierre Bosser, Stéphane Boucher, Grégory Bourillon, Gaëtan Charbonnier, Nicolas Cousin, Jean Deloffre, Jean-Pierre Dogliani, Emmanuel Dorado, Souleyman Doumbia, Christophe Galtier, Bruno Germain, Hervé Guégan, Jean-Martial Kipré, Patrice Lecornu, Lucien Leduc, Alexandre Letellier, Mounir Obbadi, Thierry Oleksiak, Jean-Daniel Padovani, Jean-Michel Papini, Alberto Poli, Thierry Princet, Ulrich Ramé, Peter Sampil, Habibou Traoré, Kalifa Traoré, Yoann Tribeau, Velibor Vasovic, Sébastien Vaugeois, Pierre Vermeulen Albert Nelson (jeunes), Guillaume Norbert (jeunes), Yoann Tribeau (jeunes), Axel Ngando Elessa (jeunes), Mohamed-Ali Cho (jeunes), Ayoub Yousfi Amkadmi (jeunes)
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Club formateur pour |
Thierry Bacconnier, Alexandre Bonnot, Nicolas Cousin, Jean-Martial Kipré, Teddy Morand, Mounir Obbadi, Jean-Michel Papini, Alexandre Letellier, Loris Arnaud, Aka Wilfride Kanga, Emmanuel Attah, Ayoub Yousfi Amkadmi
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Historique |
Le Paris Saint-Germain est né pour combler un vide : après le retrait du modeste Cercle athlétique en 1964, la fusion du Racing Club avec Sedan en 1966, et l’arrêt du Stade français en 1967, Paris n’avait plus de club professionnel, sinon le Red Star installé à Saint-Ouen et qui n’avait dû sa survie qu’à l’absorption du Toulouse F.C. ! C’est ainsi que surgit le projet du Paris Football Club qui, pour des raisons réglementaires, fusionne avec un bon club amateur de haut niveau, le Stade sangermanois, né en 1904 et 3ème en CFA, pour donner naissance au Paris Saint-Germain Football Club. Aussitôt promu en D2 grâce à la réforme des championnats, il gagne en quelques mois son billet pour la D1 : pari tenu au-delà de toutes les espérances ! Passons sur les péripéties de la querelle avec la mairie de Paris qui entraîne la scission de la section professionnelle (l’actuel Paris Football Club) et de la remontée de D3 en D1 dès 1974 : le club n’a plus quitté la première division depuis lors. La présidence d’un styliste (Daniel Hechter) lui a offert de nouvelles couleurs (comme l’Ajax d’Amsterdam alors en vogue mais avec le bleu foncé au lieu du blanc) et un nouveau logo (la tour Eiffel pour Paris, le berceau et la fleur de lys pour Saint-Germain-en-Laye, patrie de Louis XIV). Installé au Parc des princes, le plus moderne des stades français, il connaît rapidement un engouement que ses résultats mettent quelques années à justifier. On distingue alors trois vagues de succès : sous l’ère Borelli encore à taille humaine (coupes de France 1982 et 1983, championnat 1986), au début de l’ère Canal+ (championnat 1994, trois coupes de France, quatre coupes de la Ligue et surtout une coupe d’Europe en 1996) et sous l’ère qatarie (huit championnats, six coupes de France, cinq coupes de la Ligue) marquée en coupe d’Europe par une finale et par une somme d’échecs cuisants. Beaucoup de grands noms ont porté le maillot du PSG, qui est à cet égard le seul concurrent national de l’Olympique de Marseille. |