| Ils ont connu les 2 clubs |
Jean-Eudes Aholou, Ibrahim Amadou, Carlens Arcus, Jean-Marie Aubry, Jonathan Bamba, Nabil Bentaleb, Sofiane Boufal, Philippe Brunel, Ludovic Butelle, Guy Campiglia, Michel Chevalier, Emmanuel Coquelet, Jean-Paul Desrousseau, Charles Diers, Fabrice Anguilet Do Marcolino, Claude Dubaële, Rolland Ehrhardt, Noah Fatar, Eugène Fragassi, Christophe Galtier, Hervé Gauthier, Jocelyn Gourvennec, Baptiste Guillaume, David Guion, Eric Guérit, Philippe Levenard, Grégory Malicki, Georges Meuris, Robert Meuris, Alain Millard de Martigny, René Minel, Jaly Mouaddib, Mounir Obbadi, Thierry Oleksiak, Walter Presch, Eric Péan, Nicolas Pépé, Patrick Rey, Hervé Rollain, Patrice Sauvaget, Andras Simonyi, José Sáez, Mehdi Tahrat, Henri Tessier, Jean Tison, Charles Val, Roger Vandooren, Marian Walter
Jaly Mouaddib (jeunes), Nabil Bentaleb (jeunes)
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| Club formateur pour |
Charles Diers, David Guion, Eric Péan, José Sáez, Marian Walter, Noah Fatar, Justin-Noël Kalumba Mwana-Ngongo
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| Historique |
Dès avant la première Guerre mondiale, l’Olympique lillois est un grand club du Nord. En 1932, le club des brasseurs et des commerçants rallie le professionnalisme et devient le premier champion de France professionnel. L’année suivante, un autre club lillois devient vice-champion de France : c’est le Sporting Club de Fives, club des métallurgistes, moins huppé. A la Libération, les deux clubs fusionnent, chacun apportant au nouveau club une partie de son nom (Olympique d’un côté, Sporting Club de l’autre) et de ses couleurs (maillot blanc à parements rouges de l’O.L., culotte et bas bleus du S.C.F.). Le nouveau-né gagne le premier championnat de France d’après-guerre et se classe deuxième quatre années de suite, il gagne aussi la moitié des dix coupes de France de 1946 à 1955 ! Pourtant, quinze ans plus tard, les difficultés financières l’obligent à abandonner le professionnalisme en 1969. La réforme des championnats de 1970 lui permet d’y reprendre pied presque immédiatement. Pendant trente ans, le LOSC joue un rôle discret jusqu’à l’électrochoc de la relégation en D2 qui en retour suscite une ascension d’une dizaine d’années conclue par un doublé coupe-championnat en 2011 après un demi-siècle de disette. Il est à nouveau champion de France en 2021. Depuis 2012, il dispose du seul grand stade couvrable de France. |
