| Ils ont connu les 2 clubs |
Gaël Angoula, Jean-Pierre Avrillon, Jean-Claude Brodel, Christian Cappadona, Ibrahim Cissé, Jean-Yves Citron, Boris Diecket, Bilel El Hamzaoui Bakna, Daniel François, Elie Fruchart, Ludovic Gamboa, Billy Ketkeophomphone, Hervé Louis-Marie, Paul Lévin, Grégoire M'Bida, Marc Maufroy, Didier Monczuk, Jean-Pierre Moreau, Nicolas Sachy, Amine Salama, Patrice Sauvaget, Philippe Schuth, Mathias Serin, Tanguy Seys, Hamady Tamboura, Olivier Vandevoorde
Nabil Bentaleb (jeunes)
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| Club formateur pour |
Hervé Louis-Marie, Nicolas Sachy
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| Historique |
Le club dunkerquois a connu divers noms au gré de fusions. Demi-finaliste de la coupe de France en 1929 et bon club de division d’honneur, il passe professionnel de D2 en 1935 et se classe 5ème en 1938 derrière Le Havre, Saint-Etienne, Rennes et Colmar. Après-guerre, Dunkerque ne reprend pas les championnats professionnels, probablement à cause de l’état de la ville. Il faut attendre 1966 : dès lors, l’Union sportive dunkerquoise reste en D2 pendant 30 années consécutivement, presque toujours dans le ventre-mou (sinon la 4ème place en 1973 derrière Lens, Boulogne et Lille, à seulement trois points du champion). Sans palmarès, sans coup d’éclat, c’est un club discret et stable qui finit cependant par chuter en 1996 puis à s’effondrer. Dans les années 2000, les rivaux Calais et Boulogne prennent la lumière. L’USD est aussi concurrencée par le basket-ball (Gravelines) et le handball. Elle finit quand même par retrouver la D2 professionnelle en 2020 et dispose d’un petit stade Tribut modernisé. |
